J’ai deux casquettes : un rôle de PMO (Project Management Officer) et un rôle de direction de projet.
En tant que PMO (NDLR: c’est une création de poste), je suis chargée de mettre en place des méthodo pour l’intégrateur, de les suivre et de les industrialiser. Elles doivent s’appliquer à toute la chaine depuis les projets initiaux jusqu’à la TMA, et sur tout le périmètre web, mobilité et ERP. Cela doit se faire en cohérence entre tous les services (commercial, éditeur, intégrateur) : l’objectif, c’est de mettre en place des méthodologies cohérentes, dans l’omnicanalité. Je travaille sur ces sujets avec toutes les équipes: on voit ce qui fonctionne, ce qui ne fonctionne pas… Je suis là pour piloter ces travaux.

À côté de ça, je fais de la direction de projet en tant que pilote, plutôt sur les clients grands comptes. Le rôle des pilotes, c’est de s’occuper de l’organisation du projet, de la planification, de la coordination globale, du suivi avec le service commercial et d’assister les chefs de projet dans leur relation avec les clients. C’est donc tout ce qui concerne la partie « non-opérationnelle ».
Depuis mon retour, j’avoue ne pas avoir eu assez de temps pour me pencher sur la partie méthodo. Mais les choses évoluent et tout devrait se réguler.

Au niveau des études, j’ai fait un master II (ça s’appelait DESS à l’époque mais ça faut pas le dire!) en Systèmes d’Informations et Communication à Paris. J’ai fait mes 3 dernières années en alternance et j’ai donc commencé à travailler directement en entreprise en même temps. Dans le domaine des assurances et ensuite dans la finance. Je suis restée environ 10 ans dans la même entreprise en étant prestataire, en ayant plein de rôles différents, principalement pour des missions de business analyst (maitrise d’ouvrage) et de CDP informatique.

En 2014, nous avons décidé de partir en famille en Nouvelle Zélande avec nos 3 enfants (fraichement, puisque Eda, la dernière avait 2 mois et demi). J’ai profité de mon congé parental pour passer la certification de PSM1, la certification de Scrum Master. C’était donc mes premiers pas dans le monde de l’agilité.
Au bout d’un an, l’entreprise pour laquelle je travaillais m’a proposé un poste à Singapour. Là-bas, j’ai été responsable des équipes informatiques des filiales d’Asie du Sud Est de ma boite. Après 2 ans, on est retourné un an en NZ avant de rentrer dans mes terres natales à Angers!

C’était donc assez riche et varié, j’ai fait pas mal de jobs complètement différents, des postes qui m’ont permis de rencontrer beaucoup de monde puisque je travaillais dans de grands groupe.

En rentrant en France en 2017, j’ai trouvé ce poste de pilote de projet chez Octave. Je me souviens, nous étions 5 ou 6 à arriver en même temps.

En 2019, j’ai eu une proposition d’une autre entreprise sur Angers et j’avais envie d’avoir un peu plus un rôle d’organisation. Je suis donc partie tenter l’expérience ailleurs mais ça ne s’est pas avéré concluant. J’ai alors pu échanger avec Jean-Louis (NDLR: Jean- Louis Pagnac, directeur du Pôle intégrateur) qui, à ce moment-là, avait un fort besoin sur l’industrialisation des méthodologies dans le cadre de la structuration d’Octave. Nous avons trouvé un terrain d’entente et c’est pour ça que je suis revenue sur un poste de PMO.
Je ne suis partie qu’un mois et demi au final ! ????

Octave, c’est réellement une super boite avec des gens super sympas! ???? Mes missions sont très intéressantes et variées, malgré la pression, qui sur certaines phases des projets est parfois assez extrême. La qualité dans le produit s’améliore et ça allège notre quotidien. Les méthodo que l’on met en place vont aussi aider à mieux piloter les projets et être plus sereins.
Après mon départ, les cartes ont été rebattues et les perspectives m’ont donné envie de revenir. Mon expérience infructueuse m’a permis de constater et d’analyser les missions que j’avais envie de faire, et de trouver ainsi un bon compromis chez Octave.
Et vraiment l’entreprise est une super boite! Le fait d’être allée voir ailleurs, ça m’a permis de m’en rendre vraiment compte : au niveau de l’autonomie, de la liberté que l’on a de pouvoir s’exprimer, de proposer des idées, de pouvoir faire avancer les choses…

Tout le monde chez Octave connait un peu mes hobbies : j’aime le karaoké, les M&M’s (je mange presque 1 kg par semaine! ????) et la course à pied. En fait, j’ai commencé la course en arrivant chez Octave et j’ai rejoint la team de runners par le biais de Quentin (NDLR : Quentin Dittière, consultant). Ils allaient tous courir le midi ensemble. Un team building comme ça, ça donne forcément envie! Je faisais quand même déjà beaucoup de sport avant : natation et basket entre autres. En fait, je ne sais pas faire les choses à moitié. Donc, quand je fais du sport, c’est toujours à fond! Quand je faisais de la natation, je nageais 2km par jour !

Sinon, j’ai 3 enfants qui ont 7, 9  et 11 ans. Un rythme « un peu » speed donc.

Les souvenirs qui font que c’est toujours un plaisir de travailler chez Octave, c’est l’ambiance et les moments conviviaux : la raclette annuelle, le Noël et les cadeaux qu’on offre à la personne que l’on a tirée au sort, le barbecue avant les vacances d’été, et bien entendu, les petits déj sous des prétextes qui n’ont -parfois- ni queue ni tête (comme par exemple, avoir amélioré son temps à une course à pieds !). Tout ça fait que l’on se retrouve pour papoter de plein de sujets, pour rigoler et inévitablement, ça crée une ambiance chaleureuse, une sorte de solidarité forte et d’excellents souvenirs. ????